La Résidence Yamaguchi
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Lilly Beverley [finita]

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MessageAuteur
MessageSujet: Lilly Beverley [finita] Lilly Beverley [finita] Icon_minitimeJeu 21 Avr 2011 - 9:39

Lilly Beverley
« Un Fantasme Assouvi est un Rêve déchu.» E.Carli

Lilly Beverley [finita] 808790fiche2featuring Apnea♥️
Carte d'identité

  • DATE DE NAISSANCE : 21 Juin 1987.
  • SEXE : En bon état, Féminin.
  • NATIONALITÉ & ORIGINE(S) : Anglaise.
  • TAILLE & POIDS : 1m58 & 49 kilos.

  • ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle.
  • MÉTIER : Proprio' du «Perce Neige»

  • GROUPE : Personnel, Cliente.
  • LIEN(S) AVEC UN AUTRE PERSO ? : Alice, soeur aînée.




Caractère & Goûts
Physique
« Toi là ! Apporte moi ça ».
Toute la douceur d’une enfant gâtée est réincarnée dans le corps de l’anglaise. Comme si le temps s’était arrêté pour quelques détails bien entendu : ce qu’elle veut, elle l’a. On l’aura compris et de toute manière les gens qui l’a connaisse plus intimement le savent, Lilly est une sale gamine CAPRICIEUSE. Elle obtient alors ce qu’elle désire d’un sourire, d’un battement de cils, mais quand ça devient compliqué elle possède une autre méthode : la MANIPULATION. Qui parle de manipuler parle de dominer. Dans le monde il a trois sortes de personnes : les dominés, les dominants et Dieu. Lilly se considère comme le dernier spécimen. Et comme Dieu, elle a besoin de se sentir aimer et adorer pour vivre comme elle le souhaite. On a rarement vu un Dieu qu’on n’aime pas. Et Dame Solitude est à proscrire de la liste des adorateurs. DETESTANT ETRE SEULE, elle réagit toujours pour ne pas à avoir à passer une journée sans une autre présence. Et quand une âme charitable et appétissante se présente, elle saute sur l’occasion pour présenter ses atouts de femme, dotée de charmes et d’un goût prononcé pour les conquêtes, la VERSION FEMININE DE DON JUAN. Allumer et provoquer, deux verbes qu’elle met en application quand elle le peut, quand la situation se présente. Pour cela mettre en valeur ses atouts, son visage aux traits étrangers avec un peu de maquillage, des coiffures soignées, des heures dans la salle de bains pour un joli résultat, parce que Lilly est COQUETTE. Pour la moindre occasion, pour le moindre événement, elle passe un minimum d’une heure à se préparer après la douche, pour aller prendre le courrier, comme pour participer à une exposition d’art. Elle affectionne les longues discussions roulant autour des arts. CULTIVEE, les gens l’apprécient aussi pour ce côté à avoir un large vocabulaire en ce qui concerne l’art contemporain, le cinéma. Pour se permettre d’avoir cette culture, il faut se permettre d’avoir l’argent à dépenser dans les ouvrages et expositions, l’argent : Un joli mot qui sonne à l’oreille de Lilly. Toujours en avoir plus, elle devient avec l’âge AVIDE. Profitant de la fortune qu’elle possède pour paraître tyrannique quand elle se montre désagréable.
Coté cœur, Lilly cherche éperdument à cacher sa FRAGILITE, sa sensibilité. Attention, elle ne verse pas de larmes quand elle élimine, ni quand on lui brise le cœur, dans cette situation, c’est plutôt une crise qu’elle fait. Si elle s’attache, ce qui pourrait arriver puisqu’elle le souhaite quelque part, si ça arrive, avoir le cœur brisé à ce moment pourrait lui être fatal.
Mais elle se montre étrangère à toutes ses émotions qui veulent prendre le dessus.


Pour ce qui est de ses goûts, il a 3 catégories (oui elle aime les chiffres impairs) :
ce qu’elle aime, comme la couleur ROSE avec laquelle elle a décidé d’aménager son appartement le « Pink Fox ». Tout ce qui touche de près ou de loin au JEU, une partie de jambes en l’air, un défi, une conquête . . . Les PATISSERIES, surtout le pudding, les muffins et les cupcakes à la fraise, elle ne se lasse pas d’en admirer les couleurs et le sucre. On avait parlé de l’ART, surtout l’art contemporain, le Romantisme, le Baroque, et autre art, le cinéma. Enfin l’esthétique est une qualité essentielle à ses yeux, ainsi elle remplit une pièce chez elle de POUPEES EN PORCELAINE à l’effigie de la beauté éternelle.
•a deuxième catégorie c’est- ce qu’elle n’aime pas : La NOURRITURE JAPONAISE, horreur de l’odeur, du goût, alors même un bon macdo ça passe mieux. Les ROUX, bon ça c’est par superstitions plus que le goût. Elle a par ailleurs une peur bleue pour les INSECTES rampants, araignées, cafards . . . Aussi des CHIENS, même les plus petits, ne les supporte pas en fait, trop collants quand ils s’attachent, trop méchants dans le sens inverse. Il y a aussi ses allergies à la POUSSIERE et au CHOCOLAT, et oui, étrange mais personne ne doit savoir on pourrait s’en servir contre elle !
• Dernière catégorie : ses LISTES. Au nombre de 7 (Quand je vous le dis), sur lesquelles elle répertorie ses connaissances. Ça reste dans l’ordre du délire, elle le fait surtout avec ses collègues au « Perce Neige ». Les listes sont de couleurs différentes, mais ça reste secret sinon c’est pas drôle. ♥️
Occidentale, ça serait vraiment le mot pour la différencier des nippones. Lilly n’est pas très grande, mais du haut de son mètre cinquante-huit elle sait se faire voir. De nombreux regards se retournent sur son passage, sa démarche féline et ses formes finement dessinées ne laissent pas de marbre. Juste assez de hanches pour qu’on s’y accroche, enfin vous aurez compris. Pas de longues jambes par contre, même si les hommes aiment ça ; elle se dit que de toute façon elle n’est pas née pour leur plaire. La peau claire et douce, tatouée comme le veulent les traditions mafieuses. C’est plutôt par choix esthétiques qu’elle le fera, vous dira-t-elle. Les plaques noires sur son bras droit, représentent le néant, à sa jambe une fermeture, sur les hanches des plumes d’oiseau du Paradis. Ah ! En continuant avec les formes féminines, on ne soufflera pas la taille de son bonnet non c’est pas classe, juste que de ce coté ce n’est pas généreux, on va dire qu’il y a de quoi prendre en main sans que ça déborde. De fins doigts qu’elle sait utiliser quand il faut et où il faut. Un corps en général fin, les cotes qui ressortent un rien si elle décide de faire un stupide régime. Si on s’attarde maintenant sur son visage, il est rond mais mince, le nez retroussé et les lèvres de gamine en cœur. De grands yeux dans les tons verdâtre ou gris souvent joliment maquillés. Et ses cheveux, les coiffant suivant son style, elle estime que sa coiffure doit faire partie intégrante de sa tenue. Court ou longs et bouclés, blonds ou noirs.
En général, elle porte des robes en latex, c’est moulant et sexy. Mais en général Lilly suit la mode, chic, classe et sexy, pas vulgaire jamais. Des talons hauts à cause de son complexe du à sa taille, mais le Rose reste la couleur dominante de sa garde robe.

Histoire

Bien, avant de parler de moi, Lilly, parlons de ma famille, Les Beverleys.


Vous l’aurez compris, nous ne sommes pas une famille comme les autres, pour être clair notre famille est hors la loi. Originaire d’Angleterre et plus précisément de Londres, on est essentiellement basé sur les trafics de drogues, d’armes et de textile. Le monde de la mode et de la matière rapporte beaucoup croyez-moi. Nous sommes reconnus par le monde pour nos marques prestigieuses dans la mode et auprès des plus grands créateurs.

Pas besoin de se cacher, nous sommes des criminels, comment arrivons-nous à ne pas nous faire prendre ? C’est simple. Notre clan possède 33 sièges dans la Chambre des Lords, dont deux dans les Pairs à Vie. Ces deux personnes sont bien évidemment mon père et son frère.
Qu’Est-ce que la Chambre des Lords, pour faire simple c’est une assemblée importante qui examine les lois, les refuse ou non, et qui remet en place le Gouvernement du pays. [Voir sur Wiki] Autant vous dire qu’ainsi le clan est en sécurité, et peut encore une fois frauder dans le milieu de la politique.

Mon père, James Beverley, est un homme sage et respecté. Il fait figure du Père comme on l’entend. Je n’ai jamais pris le temps de lui parler réellement.
Ma mère, Elisabeth Beverley, a épousé mon père par amour, contrairement à la coutume du mariage forcé. Ils s’aimaient, elle est morte assassinée, non . . . « tuée » nous dira-t-on. Elle était journaliste et était passionnée autant par son travail que par ses 5 enfants. Je n’avais que 7 ans, je n’ai jamais eu le temps de lui dire qu’elle comptait pour moi.
Ma Belle merde, euh . . Belle-mère, oui mon père s’est remarié, et non par amour. Juste par souci d’éducation pour nous, ses enfants. Etant chrétienne pratiquante elle décida de nous envoyer, du moins pour les plus jeunes, dans des écoles religieuses. Elle était une sacrée manipulatrice, je pense qu’elle était frustrée et surement vierge cette putain !
J’ai donc au 3 autres sœurs, Alice, Emma et Betty ( Oui on aime les prénoms courts dans la famille ) Emma et Betty, étaient majeures et mariées à la mort de notre mère, je ne les connaissais pas plus que ça. Il y avait aussi notre frère, Matthew, de 2 ans mon ainé. Alice elle avait 5 ans de différence avec moi, c’était mon modèle.
Seth aussi on pouvait dire qu’il faisait parti de la famille, c’était le bras droit de notre père, plutôt jeune, il était un homme de confiance.




Bon le tour est fait ! Passons à la partie la plus interessante MOI !


D’après les écrits de la famille, je suis née à Londres dans notre résidence principale, j’étais la plus jeune des enfants, et surement la plus bruyante. J’ai été élevée dans l’amour et le cocon de notre mère. De ses bras elle nous cachait le monde noir de la mafia et du crime. Emma et Betty, je ne les ai pas connu, je ne vous en parlerais donc pas, je sais juste qu’elles se sont mariées, ont peut-être des enfants, et son nationalement connues pour le mannequinat et une marque de fringues. J’ai grandi auprès de Matthew et Alice. Après le décès de notre mère, ce fut un peu le merdier, on a été envoyé dans des écoles chrétiennes par notre belle maman adorée. Moi je suis rentrée dans un vieux collège bien pourri, je n’aimais personne, parce que personne ne m’aimait. J’étais plutôt bonne élève, sage et docile, j’obéissais et ne me faisait pas remarquer, c’était les ordres de belle maman. Mes passions n’avaient pas changées, j’aimais coudre de jolies poupées de chiffons. Et puis le lycée arriva, vous savez c’est un tournant dans la vie, l’adolescence. Moi ça m’a bien changé, ou c’était peut-être une découverte de moi-même. J’étais la plus jeune, à cette époque Alice devenait majeure et je la considérait comme libre, libre de la prison nommée « Belle mère ». C’est par elle que j’observais la vie et ses ouvertures. Disons les choses comme elles étaient, dans ce milieu bourgeois, j’étais gâtée, et comme toute gamine pourrie gatée, je voulais défier les interdits. D’une part parce que je voulais de l’action dans tout ce luxe, d’autre part, et c’est surtout ce point qui était important, parce que je voulais faire tout ce que belle maman ne voulait pas me voir faire. Dans «  tout » je parle bien sur des soirées avec des amis du lycée, les sorties après le couvre-feu, les concerts, les boites de nuit, flirter avec des inconnus, coucher avec, fumer, boire, la drogue, la baise, les plans cul à deux, trois, quatre . . . Tout ce qui m’était interdit.

Encore quelques mois et j’étais libre, majeure mais non ! Il a fallu que la belle mère apprenne quelques unes de mes aventures, cette conne. Je me doute qu’Alice y est pour quelque chose. Par sécurité, je me rapproche de papa, un peu comme pour l’utiliser comme bouclier, c’est la seule personne que belle maman redoute, parce qu’il a le droit de vie sur elle. Alors elle se la ferme cette vieille peau. Après ça, j’avoue je me suis attachée à l’homme qu’était mon père, James Beverley. Je ne le connaissais pas avant ça, il était affectueux, on n’aurait pu se douter du sang sur ses mains.

J’avais 19 ans, et ici c’est 21 ans la majorité, encore 2 ans. De toute façon, durant le temps que je vivais près de mon père, ça n’avait plus réellement d’importance. Je me suis interessée à l’art, au calme et aux belles choses. Ne regrettant pas mon adolescence de débauche, je la cultivais même encore un peu par moment. Mon père se faisait vieux, il lui fallait un héritier, non pas Matthew, il souffrait de plusieurs maladies, trop faible donc. Peut-être son bras droit puisqu’il avait fait ses preuves dans la famille comme dans le clan. James voulait un mariage avec son bras droit et moi. Je préférais lui retirer cette idée de la tête. Même si durant ce temps, ces quelques mois là, Seth s’était montré adorable et bon éducateur pour le combat et la maitrise des armes, je ne le voulais pas. C’était me mettre des chaines avant que je n’atteigne la liberté.

Je lui résistais, il le savait. Il ne me connaissait pas réellement, moi Lilly l’allumeuse de service, ou la droguée, l’alcoolique ; il ne voyait que la gentille et douce Beverley, quel idiot, adorable idiot. Heureusement qu’il y avait un autre homme dans ma vie, Matthew, une source de calme et de sagesse, j’aimais le taquiner, autant qu’Alice aimait me faire chier ! Alice quitta ma vie, celle de notre famille, un mariage une nouvelle vie. Matt’ aussi quitta notre nid, des études, un avenir. Moi, je me cherchais, les études me paraissaient normales. En histoire de l’Art. J’y suis restée un an et quelques mois, à cause de la maladie de mon père, je ne me voyais pas quitter la maison en le laissant ainsi, dans les griffes de belle maman. J’ai effectué quelques petites missions avec Seth, mon père me voulait à tout prix à ses cotés. Des missions comme se charger du bon arrivage de dentelles, ou de cocaine, un échange de quelques billets, ou de valises de 2 millions, enfin des missions quoi.

C’était une vie banale pour une fille de mafieux, pour la future héritière. Le luxe, l’argent, le pouvoir, des mots qui me sonnaient bien à l’oreille. Je me cherchais encore, c’était pas ce que je voulais vraiment, un destin si bien tracé, né dans le sang et le crime, il y finira. Parce qu’une nuit d’été, sous le vent chaud de juillet, il y eut cet appel.

Mon monde rose aux reflets rouge, tomba dans l’obscurité.

Les ténèbres sont si froids qu’en on y entre.

J’aurais beau laver mes mains, elles ne seront jamais propres.

Mon Père, j’ai péché . . .


Aujourd’hui, j’ai du quitter l’Angleterre, je me cache. Le Japon me paraissait la meilleure idée, il était un petit pays avec tant d’habitants, il fallait me trouver dans tout ce monde. Et puis, au-delà de ça, c’est un nouvel environnement, la religion est loin derrière moi, et mes anciens interdits sont maintenant mon gagne pain. Je suis proprio d’un club lesbien, pourquoi ? Bha déjà je trouve ça plaisant de voir toutes ces minettes se dandiner, et en plus de ça, ce club était entretenu par la mafia japonaise. Alors oui j’ai tout prévu. Le gouvernement japonais laisse les yakusas organiser leurs villes, il ne s’en mêlera jamais. Je vis dans l’ombre de cette mafia, en me cachant. Je gagne bien ma vie avec de l’argent sale, j’ai une bonne réputation parmi mes clientes, je rencontre des gens, j'aime les nouvelles choses, je suis désirée. Alors, . . . Personne ne doit savoir. Je ne peux pas tourner la page, ce que j’ai fais je dois l’assumer seule. Ce n’est pas une nouvelle vie, c’est juste une page qu’on colle sur une autre.

Mon Père ne me pardonne pas, mais protège moi.




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